You are currently viewing Communauté de communes des Lacs et Montagnes du Haut-Doubs
© Compagnie Astragale

Communauté de communes des Lacs et Montagnes du Haut-Doubs

Résidence du jeudi 5 au samedi 14 octobre 2023
Compagnie Astragale

À DÉCOUVRIR

Paysage d’un corps
Danse et photographie

Jeudi 5 octobre 2023
20 heures
Salle du temps libre
Malbuisson

Paysage d’un Corps est un duo original, de danse et photographie, sur la question de l’âge et du vieillissement.

La thématique du vieillissement est ici traitée avec douceur, humour et propose un joli pied de nez décalé à nos peurs de vieillir. Une occasion de traiter ce sujet autrement, de sensibiliser différentes générations et repenser le rapport à l’âge avec plus de bienveillance.

Le corps de la danseuse, les marques du temps sur sa peau sont photographiés et projetés en direct, dessinant des paysages abstraits où le corps se découvre autrement.

Une façon de renouveler notre rapport à l’image du corps et à l’âge par la danse, l’image et les textes.

Entrée gratuite.
Tout public.

Veillée – « Territoire intime »
Portrait des habitants,
paysage d’un lieu

Vendredi 13 octobre 2023
20 heures
Maison du Patrimoine
9b place de la mairie
Remoray-Boujeons

« Territoires Intimes »
Lulla Chourlin, danseuse, et Yves Petit, photographe, vont venir parler, danser, parler de danse et recueillir des témoignages auprès des habitants de Remoray-Boujeons.
« Ce projet est à inventer avec vous. C’est une rencontre, on vient chez vous… »

Cette veillée conviviale sera une soirée de restitution avec la danse, les textes et les images projetées.

Informations et/ou réservations (réservation conseillée) :
La Sarbacane
03 81 46 68 27
billetterie@sarbacane-theatre.com

Entrée gratuite.
Tout public.

LE PROJET DE CRÉATION DE CETTE RÉSIDENCE

Territoire Intime

Ce projet est une création in situ avec les habitants autour de leurs souvenirs de danse.

Des habitants reçoivent une danseuse et un photographe chez eux et sont questionnés sur leur rapport à la danse, les souvenirs qu’ils y associent et possiblement cela déborde, ils parleront d’eux, de leur histoire, de ce qui les touche, ce qui les meut.

Il y a aussi là où ils vivent, là où ils reçoivent, et l’intimité qu’ils acceptent de partager.

De ces petits signes, de ces échanges, de ce qu’ils acceptent de livrer d’eux et de leur vie, se dessine un portrait momentané, une évocation, une inspiration pour la danseuse qui dansera alors pour eux, chez eux, comme une traduction physique et chorégraphique de ce qu’elle perçoit d’eux.

De ce moment particulier, le photographe crée des traces, il photographie la danseuse qui danse, la personne chez elle, les petits signes de son intérieur qu’elle accepte de partager et il inscrit sur la photographie pour longtemps ce moment éphémère unique, en tête à tête avec les habitants.

Aussi, des sons sont enregistrés, lors des échanges, lors de la danse, parfois juste les sons habituels de la maison : l’horloge, les animaux, le café qui chauffe…

L’expérience des uns rencontre l’expérience des autres, les ambiances et les ressentis s’agrègent et forment un ensemble commun, riche des tous et unis par la danseuse qui les met en lien, les transforme, les traduit et les interprète.